Les bétons étant des corps hétérogènes constitués par un liant (le ciment) et des agrégats (morceaux de roche), leur conductivité thermique est influencée par différents facteurs, qui sont étudiés ici. Données sur la variation de la conductivité du béton avec l'âge, à différentes températures, coefficients de conductivité thermique de différentes roches, ...
Suite aux publications de février, avril, juin, septembre, octobre, novembre 1986, ce 7ème article sur la méthode COSTIC de calcul des charges de climatisation présente les paramètres pour le calcul des charges dues à la conductance des locaux.
Cette seconde partie de l'étude indique comment on peut "boucler" les calculs en faisant appel à certaines observations empiriques plus ou moins générales.
Analyse statistique du problème de transferts turbulents en vue de déterminer une méthode de calcul.
Après la publication d'une méthode de calcul des flux transmis, l'auteur présente ici, avec le même souci de simplification des calculs, une méthode qui concerne le rayonnement absorbé. L'analyse montre l'importance du flux réémis dans le local, particulièrement dans le cas des vitrages absorbants.
Concernant les tables et diagrammes de l'air humide établis par le COSTIC, différentes questions sont posées concernant la précision et le domaine d'application des formules. L'auteur, Directeur du COSTIC, apporte ici les justifications de ses choix, qui complètent une précédente étude publiée dans le n° d'avril 1977.
S'appuyant sur différents travaux théoriques, dont certains sont d'ailleurs très anciens, et sur un grand nombre de résultats expérimentaux d'origines très diverses, l'auteur, Directeur du COSTIC, présente des formules très simples pour calculer le rayonnement transmis à travers les vitrages. Ces calculs intéressent aussi bien le chauffage (calcul des chaleurs traduites), que la climatisation (calcul des apports par rayonnement) et l...
Les grandeurs numériques adoptées dans les calculs d'air humide peuvent varier légèrement selon les hypothèses choisies. Depuis plusieurs années, sur la base des données physiques connues, nous utilisons des valeurs numériques légèrement différentes de celles qui ont cours dans la littérature technique classique. Voici nos justifications, le domaine de validité des valeurs adoptées est celui du conditionnement, mais non celui du séchage.
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